
À Locarno, les écrans, cette année, aiment le noir. Pas seulement pour la remarquable rétrospective Black Light, mais aussi le brillant clair-obscur de Vitalina Varela de Pedro Costa qui vient de recevoir le Pardo d’oro sur la Piazza Grande. Pour un film qui peut nourrir les études de géographie post-coloniale. (Gilles Fumey)
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Pour son deuxième long métrage, Hassen Farhani a posé sa caméra dans un café perdu en plein Sahara. Dans 143 rue du désert, il filme le quotidien de la tenancière Malika et, à travers les discussions entre clients et l’évolution du paysage alentour, prend le pouls de la société algérienne. (Manouk Borzakian) 






Au Festival de Fribourg 2017, j’avais rencontré Thierry Jobin. À part quelques phrases retenues pour un compte rendu dans Positif, l’interview s’était perdue dans les limbes. L’édition 2019 du FIFF offre l’occasion de se replonger dans une discussion passionnante sur le cinéma et les fantômes. Avec un hommage désormais posthume à Pierre Rissient, disparu en 2018. (Manouk Borzakian)