
Pendant que les vers remuent trois cent tonnes de terre à l’hectare en cette période hivernale, les philosophes se grattent la tête pour savoir comment préserver la planète de la catastrophe. Voici une réponse dystopique rondement menée par l’un d’eux converti à l’écologie. De quoi rappeler l’avertissement en 1864 du géographe Elisée Reclus sur l’impact destructeur des humains. (Gilles Fumey)
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