
Le 13 février, la Suisse vote. Pour convaincre, les affiches de campagne réactivent le clivage entre germanophones et francophones avec une finesse toute relative. Une manière de titiller les plus bas instincts des citoyens et citoyennes helvètes et d’occulter les vrais enjeux. (Manouk Borzakian)
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