
Le rebelle franc-comtois qui aimait peindre la Loue dans son pays d’Ornans (Doubs) serait furieux de l’état sanitaire préoccupant dans lequel la rivière aborde le printemps et l’été. Très largement dû à des dérives productivistes agricoles d’opportunistes profitant de la réussite du Comté, et sapant la réputation d’une filière jusqu’ici modèle agricole. (Gilles Fumey)
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