
On ne peut pas dire que jamais nous n’avons aussi bien mangé quand la moitié des humains ont pas assez ou trop. «Manger les riches, c’est faire ripaille de leurs privilèges», à quoi nous invite l’essayiste Nora Bouazzouni. Une charge décapante contre ce qu’elle appelle «la lutte des classes par l’assiette» signant la faillite du système agroalimentaire actuel.
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