Le fantastique aux marges (NIFFF 2025)

NIFFF 2025

Aux frontières du réel, le cinéma fantastique explore les marges géographiques et sociales. Avec 127 films issus de 42 pays, la 24e édition du NIFFF (Neuchâtel International Fantastic Film Festival) a offert, dix jours durant, l’occasion de scruter nos angoisses individuelles et collectives. Et le déficit de sens des sociétés contemporaines. (Manouk Borzakian)

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La Corée et ses démons (NIFFF 2024)

NIFFF 2024

Depuis une vingtaine d’années, films et séries coréens témoignent d’une société en plein bouleversement. Avec sa section consacrée au cinéma asiatique, le Festival international du film fantastique de Neuchâtel (NIFFF) relaie la traduction de ces évolutions dans l’imaginaire collectif national, entre fantômes du passé colonial et monstres du présent néolibéral. (Manouk Borzakian)

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Et si on mangeait les riches ? (NIFFF 2024)

NIFFF 2024

Miam! Le 23ème Festival international du film fantastique de Neuchâtel (NIFFF) offre une section «Eat the Rich» réunissant Buñuel, Pasolini, Romero et Bong Joon-ho. Série B écolo, satire sociale gore ou surréalisme grinçant, 22 films à voir ou revoir aident à penser les fractures sociales et spatiales traversant les sociétés contemporaines. Qui mange qui? (Manouk Borzakian)

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Thierry Jobin, interview fantôme (FIFF 2019)

Au Festival de Fribourg 2017, j’avais rencontré Thierry Jobin. À part quelques phrases retenues pour un compte rendu dans Positif, l’interview s’était perdue dans les limbes. L’édition 2019 du FIFF offre l’occasion de se replonger dans une discussion passionnante sur le cinéma et les fantômes. Avec un hommage désormais posthume à Pierre Rissient, disparu en 2018. (Manouk Borzakian) Lire la suite

Le fantôme du féminisme: «L’aventure de Madame Muir» (FIFF 2017)

Fribourg Festival 2017

Au Festival du film de Fribourg, la sélection « Cinéma de genre », sous-titrée cette année «Histoires de fantômes», propose un panel de merveilles plus ou moins anciennes, dont les inoxydables La maison du diable et L’aventure de Madame Muir. Dans le second, un Mankiewicz pas encore célèbrissime adapte le roman de R.A. Dick – pseudonyme subtil de Josephine Leslie – et fait souffler un vent de féminisme sur les années 1940. (Manouk Borzakian)

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